Le soft power (en français, la « manière douce » ou le « pouvoir de convaincre ») décrit la capacité d’un acteur politique — réseau de citoyens, ONG, institution… — à agir sur les forces en présence en instillant sa vision et sa culture.

Cette puissance de persuasion repose sur des ressources telles que la réputation positive, les capacités de communication, l’exemplarité de son comportement, l’attractivité de sa culture, de ses idées, son rayonnement scientifique et technologique. 

Un « soft power » large et solide requiert une participation active et libre de la société civile. Parmi les acteurs incontournables du soft-power, on peut citer par exemple le mouvement altermondialiste.

C’est dans l’objectif de mobiliser les acteurs de la société civile et de distiller une nouvelle culture et vision pour la société que Soft-Power est née en 2017. 

Notre conviction: c’est à travers la contribution créative de tous et toutes et en particulier des personnes les moins « visibles » dans la société que peut naître un autre pouvoir, un pouvoir doux.

Dans la conférence Power & Care organisée par l’ONG Mind & Life à Bruxelles en 2016, la question évoquée par différentes instances politiques, publiques et spirituelles fut la suivante: « Comment ces deux forces fondamentales – le pouvoir et la considération d’autrui – peuvent-elles être alliées, et ainsi engendrer des projets et des actions pour promouvoir la prospérité des êtres vivants et de notre environnement ? »

Notre souhait? Que l’association Soft-Power soit en Suisse le catalyseur pour la recherche de solutions issues de la société civile en lien avec les institutions et la construction d’un monde meilleur.